En cette période de forte chaleur, les habitants de Baro, chef-lieu de la sous-préfecture, font face à un grave manque d’eau potable depuis plus de deux semaines.
La principale cause de cette pénurie reste le coût élevé du gasoil, indispensable au fonctionnement des pompes hydrauliques. Actuellement, un fût se négocie à 370 000 FCFA, un tarif jugé prohibitif pour assurer un approvisionnement régulier en eau. Privés d’alternatives viables, les habitants se tournent vers des puits souvent non sécurisés, exposant ainsi la population à des risques sanitaires préoccupants.

Face à cette situation critique, l’urgence d’une solution s’impose pour garantir l’accès à l’eau potable à Baro, particulièrement en cette période de chaleur intense.
Bechir Badjoury Abbanou, Correspondant