Par un communiqué du 12 février, signé de son Directeur de communication, Hassan Abdelkrim Bouyebri, la présidence de la République tient à apporter un “démenti formel” aux allégations selon lesquelles l’ancien ministre d’Etat en Charge des affaires étrangères et porte-parole du gouvernement, Abderaman Koulamallah aurait violé la confidentialité d’une correspondance officielle.
La présidence regrette la propagation de cette fausse information sur les réseaux sociaux et appelle les médias et le public à se référer “aux sources officielles de l’information”.
Ce démenti intervient alors que des rumeurs circulent sur les réseaux sociaux concernant une prétendue fuite de documents confidentiels impliquant l’ancien porte-parole du gouvernement. Toutefois, aucune preuve tangible n’a été apportée pour étayer ces affirmations.
La diffusion d’informations non vérifiées reste un défi majeur dans l’espace médiatique tchadien, et les autorités insistent régulièrement sur la nécessité d’une consommation responsable de l’information.